Publié le 8 décembre 2020
Quimper Cornouaille Développement a organisé et animé, en partenariat avec les agences d’urbanisme de Lorient (Audélor) et de Brest (ADEUPa), un atelier sur La vie rêvée des jeunes actifs en 2040 dans le cadre de la rencontre nationale des agences d’urbanisme.
La rencontre annuelle de la Fédération nationale des agences d’urbanisme (FNAU) a eu lieu à Brest, les 1er et 2 décembre 2020 et avait pour thème de cette année : « Explorons nos futurs (heureux) ». En raison des conditions sanitaires particulières, la 41è rencontre nationale des agences d’urbanisme a été dématérialisée à 100 %.
1 800 personnes ont pris part à l’évènement à distance sur une journée et demi de débats autour de l’urbanisme, avec 2 temps forts de plénières et 12 ateliers thématiques.
Atelier La vie rêvée des jeunes actifs en 2040
C’est dans le cadre, « Explorons nos futurs (heureux) », qu’a eu lieu l’atelier sur la vie rêvée des jeunes actifs que Quimper Cornouaille Développement a co-construit avec 2 autres agences d’urbanisme et de développement bretonnes : l’Audelor (Lorient) et l’ADEUPa (Brest).
Le thème des jeunes résonne fortement en Cornouaille, ces derniers étant une des cibles privilégiées pour la stratégie d’attractivité de Quimper Cornouaille.
Pour mener à bien ce travail, un groupe d’experts a été mobilisé et accompagné par un prospectiviste, Stéphane Cordobes, conseiller-expert Agence nationale de cohésion des territoires (ANCT) et missionné pour l’occasion par la Fédération nationale des agences d’urbanisme (FNAU). Localement, plusieurs personnes ont pris part à ces travaux, notamment en Cornouaille, Maryvonne Guiavarc’h du Conseil de développement du Pays de Cornouaille et Corinne Philbert du Club régional d’entreprises partenaires de l’insertion du Finistère (CREPI).
Se projeter dans la vie des jeunes actifs en 2040 est un exercice périlleux. D’une part, du fait de la perspective lointaine d’une telle échéance et, d’autre part, du fait d’incertitudes grandissantes quant à la marche du monde. La crise du Covid-19 en est une illustration flagrante qui interroge sur notre modèle de société. Le changement climatique, dont on perçoit aujourd’hui les premiers effets, interférera certainement avec l’idée qu’on peut se faire du « monde d’après ».
Comment les enfants de 2020 vivront-ils en 2040 ? Que feront-ils ? Accompagneront-ils les changements souhaités par beaucoup ou subiront-ils le monde qu’on leur livre ? Ces questions n’apportent pas de réponse particulière. Mais plutôt une multitude d’approches croisées dont l’une des conclusions est que le futur des jeunes générations s’inscrira probablement dans un modèle basé sur la responsabilité sociale et environnementale (RSE). C’est l’un des principaux enseignements du travail prospectif mené sur « la vie rêvée des jeunes actifs en 2040 » que nous vous invitons à découvrir à travers un film réalisé pour l’occasion et associant experts et enfants qui seront les jeunes actifs de 2040.